Signature électronique : après la reconnaissance légale, les solutions

Suite après la directive européenne qui recommande de donner à la signature électronique la même valeur juridique qu’à la signature, la légalisation de la signature électronique vient d’être ratifiée par le parlement. Des décrets d’application devront préciser les supports physiques de l’identité numérique, ainsi que les conditions dans lesquelles les entreprises agissant auprès du public comme  » autorités de certification  » pourront garantir juridiquement une signature électronique. Concrètement, la signature électronique pourrait parfaitement être une signature manuscrite numérisée.
Un procédé biométrique développé par la société américaine OpenOp (http://www.penop.com/penop/) enregistre les 29 caractéristiques qui singularisent les gestes d’une main apposant un paraphe. Cette technologie suppose une  » cérémonie de signature  » avec une présence physique du signataire dans les locaux de l’autorité de certification. La signature manuscrite est, en outre, protégé par un algorithme de cryptage asymétrique en vertu duquel toute tentative de piratage déclenche un verrouillage. Cette technologie est supérieure aux clés numériques à double code en usage actuellement. OpenOp vient de signer un accord avec Siebel, leader mondial des logiciels de commerce électronique (http://www.siebel.com) .
La garantie et la responsabilité juridiques sont résumées dans une une solution comme Certinomis , créée par le groupe Sagem et par la Poste. Certinomis est la première autorité decertification entièrement française. Elle est disponible dans les 14000 bureaux de poste de l’hexagone.
Sociétés de sécurisation commerciale :
http://www.certplus.com
http://www.nettrust.com
http://www.verisign.com
(Source : Isabelle MURE, secrétariat d’Etat à l’Industrie)
Dossier de Transfert.net sur la signature électronique

À lire aussi sur internetactu.net