Le vote électronique n’est pas la panacée

Une étude réalisée par le MIT et l’université Caltech (California Institute of Technology) à Pasadena (Californie), rassemblant des statistiques concernant les élections présidentielles américaines de 1980 à 2000 et prenant en compte les différentes techniques de vote employées (vote manuel, avec machines à levier, avec cartes perforées et vote électronique) démontre que les votes résiduels (blancs ou non validés) sont de 2 % en moyenne et avoisinnent les 3 % avec les cartes perforées et les machines électroniques. Si les conclusions du rapport sont très sévères avec le système par perforation, ils demeurent indulgent avec le vote électronique : "il y a encore beaucoup de choses à améliorer", explique Thomas Palfrey, professeur d’économie à l’université Caltech.
L’info : http://www.zdnet.fr/cgi-bin/a_actu.pl?ID=2087541&nl=zdnews
Voting Technology Project du Caltech et du MIT : http://www.vote.caltech.edu

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