Le panorama Andersen 2001 de l’e-culture en France montre que de plus en plus de responsables prennent conscience que le rôle de l’internet peut aller au delà de la simple communication traditionnelle.
Ainsi, certains acteurs le considèrent comme un vecteur d’amélioration des méthodes de travail, avec par exemple de nombreuses réflexions engagées sur l’usage de l’internet dans la mise en place d’une programmation, ou du point de vue commercial, la billetterie en ligne. Récente, cette motivation marque un tournant important dans l’appréhension d’internet par les acteurs culturels.
De nombreuses institutions réfléchissent aussi à l’internet comme un espace générateur de revenus, même si ces pratiques sont encore marginales sur les sites français. Par exemple, les acteurs généralement dotés de contenus à très haute valeur ajoutée sont seulement 3 % à proposer des téléchargements payants ou encore, seuls 22 % des sites étudiés, pour la plupart privés, disposent de ressources publicitaires.
Communiqué : http://www.arthurandersen.com/website.nsf/content/CountriesFranceMediaCenterEculture2001!OpenDocument
Accès à la synthèse et à l’étude complète  : http://www.arthurandersen.com/website.nsf/content/CountriesFranceResourcesEtudeEculture2001!OpenDocument