Des étudiants de l’Illinois Institute of Technology (IIT) de Chicago ont développé un système capable de signaler les fuites de gaz, via une batterie de capteurs reliée par un téléphone cellulaire à un ordinateur central. Ce « nez électronique » sera testé a partir de novembre prochain par l’Union Tank Car, une filiale du Marmon Group de Chicago. Plus encore, ce nez, composé de capteurs électrochimiques peut identifier les substances chimiques odorantes exhalées par un échantillon sanguin et comparer ces résultats avec une base de données qui répertorie la propriété de chaque bactérie. E-nose ne met que six minutes pour renifler les bactéries et prendrait deux fois moins de temps que les analyses de sang traditionnelles pour détecter la présence d’agents pathogènes dans le sang comme les staphylocoques.
L’info : http://chicagotribune.com/technology/chi-011015gasleak.story?coll=chi%2Dt, http://www.transfert.net/fr/techno/article.cfm?idx_rub=89&idx_art=7488, http://www.wired.com/news/medtech/0,1286,47008,00.html, http://www.automatesintelligents.com/actu/index.html#actu11 et S&T Presse USA – BE ETATS-UNIS, numéro 155, 17 octobre 2001, Mission Scientifique et Technologique – Ambassade de France à Washington – ADIT (http://www.adit.fr) – Abonnement gratuit par mel : be.usa@adit.fr
L’Electronic Nose project de l’ITT : http://www.iit.edu/~hussjam/default.htm
Gas Sensor Research Group de l’IIT : http://www.iit.edu/~jrsteach/