Compte-rendu de la session de Net 2002 "L’internet de demain sera-t-il un internet ?"

La manière dont s’organise une infrastructure n’est pas neutre du point de vue des relations entre les agents économiques ou des jeux de pouvoir. L’architecture actuelle de l’internet, ouverte, décentralisée et totalement agnostique vis-à-vis des applications, est un formidable support d’innovation technique, d’usage, sociale.
Cette architecture est-elle en mesure de "passer à l’échelle", de connecter des milliards d’individus et de machines dans des conditions de performance, de qualité et de sécurité optimales ? Ou doit-elle céder la place à des approches plus organisées, mais aussi plus contrôlées ? Bref, la "révolution internet" est-elle terminée, comme le croit Lawrence Lessig (http://www.fing.org/index.php?num=2492,2), ou bien de nouvelles approches "subversives" sont-elles en train d’émerger là où on ne les attendait pas ?
C’était l’objet de la session du 26 mars 2002, organisée par la FING et animée par Daniel Kaplan. Y participaient Alain Arnould (Renault) , Emmanuel Darmois (Alcatel), Dominique Delisle (France Télécom R&D), Medhi Kerdoudi (Ericsson France), Marc Picornell (IPv6-FR) et Yannick Lejeune (3IE/Epita).
Compte-rendu et transparents projetés : http://www.fing.org/index.php?num=2768,2

À lire aussi sur internetactu.net