Derrière David Dill, professeur à l’université de Stanford, un groupe d’experts s’inquiète du développement rapide du vote électronique et réclame des aménagements importants destinés à en assurer la sécurité et à le protéger des fraudes organisées : une meilleure protection des machines à voter, une trace incontestable et vérifiable par l’électeur lui-même du vote enregistré, etc. « Il n’est pas raisonnable de demander au public d’admettre la sécurité de ces machines sur un simple acte de foi. »
L’info (enregistrement obligatoire) : http://www.nytimes.com/2003/05/15/technology/circuits/15vote.html
La résolution du groupe sur le vote électronique : http://verify.stanford.edu/evote.html