Trois ans après la loi qui lui conférait la même force qu’à la signature manuscrite, le paraphe électronique et les fonctions de chiffrement qui lui sont associées tardent à se généraliser. La complexité de l’organisation nécessaire à sa mise en place rebute les industriels.
L’info : http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3244–321098-,00.html
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