Les comptes-rendus d’ateliers proposés lors de l’Université  de printemps sont pour la plupart en ligne sur le site collaboratif dédié  à l’Université version 2003 : http://www.fing.org/universite.
 Pour mémoire, nous vous rappelons que les séances plénières  ainsi que quelques ateliers sont disponibles en streaming vidéo sur le  site de la FING : http://www.fing.org.  
« L’internet mobile, échangeur urbain »
   http://www.fing.org/universite/article.php3?id_article=75    
   En écho aux échanges en ligne autour du thème de la mobilité,    Daniel Kaplan dresse le constat de la prédominance des usages de communication    et de l’échange, arguant le fait que le développement des    communications mobiles accompagne une augmentation générale du    nombre de personnes avec lesquelles chaque individu est en relation. 
   S’appuyant sur quelques constatations dont l’idée que le    développement des réseaux accompagne celui de la mobilité    physique, l’atelier s’est ensuite attaché à dégager    quelques pistes de réflexion futures parmi lesquelles le concept de décentralisation    qui entoure l’internet mobile ou encore la notion de continuité    qui semble caractériser le couple internet/mobilité.
   « L’échange au cœur des organisations et des    entreprises »
   http://www.fing.org/universite/article.php3?id_article=76    
   Axé autour de l’intervention d’Alain d’Iribarne, l’atelier    s’est d’abord attaché à réfléchir à    la notion de « résistances » qui se révèlent    dans le sillage de la mise en place d’organisations basées sur la communication    et la coopération. Injonction paradoxale, disjonction sont autant de    notions qui permettent de mieux comprendre les limites du travail collaboratif    au sein des structures.
   S’ensuivent un certain nombre de considérations sur le rôle    d’internet et des TIC en général dans la mise en place de    véritables « chantiers collaboratifs ».
   « Réseaux et contenus portés par les utilisateurs    »
   http://www.fing.org/universite/article.php3?id_article=72    
   Dans la droite ligne de la séance plénière « Utilisateurs-producteurs    », l’atelier s’est concentré sur la motivation des utilisateurs,    leur statut ainsi que le statut de leur production.
   Surfant entre les modèles extrêmes du « consommateur passif    » et celui de « l’appropriation par tous », les intervenants    ont convenu de la complexité de la question que pose cette tendance à    la fusion de l’éditeur et de l’utilisateur. La problématique    de la diffusion n’échappe pas non plus à ces chamboulements    tendanciels.
   « Appropriation locale de la démocratie »
   http://www.fing.org/universite/article.php3?id_article=77
   Partant des expériences présentées par Felix Weygand, Jean    Pouly et Omar Balafrej, l’atelier s’est ensuite centré sur la question    du rôle des nouvelles technologies dans l’évolution de l’Espace    public : quel est le rôle des lieux d’accès publics ? Quelle    place occupe ou doit occuper la technique ? Quelle est l’incidence de    l’écriture participative sur l’appropriation citoyenne de    la politique locale ?
   Entre espoirs virtuels et limites bien réelles, l’utopie développée    autour de l’incidence des TIC sur la démocratie n’est probablement    pas celle dont avait rêvé Thomas More…
   « Education collaborative »
   http://www.fing.org/universite/article.php3?id_article=78
   Sans même évoquer dans un premier temps le rôle des TIC dans    l’éducation, le groupe de travail s’est d’abord penché    sur l’existence même de « l’éducation collaborative    » dans le circuit éducatif actuel : est-ce que ça existe    ? Est-ce que ça marche ?
   Introduire la dimension technique au débat n’est pas porteur d’une    solution unique et sans faille. Il semble que la technologie soit à même    de suppléer l’aspect pédagogique, sans pour autant le supplanter    : les relations entre le dispositif technique et la stratégie pédagogique    est une clef de la réussite de ces nouveaux types de travaux. Panorama    de ce qui se fait et de ce qui reste à faire.