L’enfer dans le métro parisien, c’est les autres ! – Metropolitiques

L’offre de transports publics ne parvient à croître au même rythme que la demande. Conséquence : la densité de passagers dans les wagons du métro parisien, augmente alors que la régularité des dessertes, elle, reste constante, rapportent Luke Haywook et Martin Koning dans une étude sur la dégradation du confort des déplacements dans les transports publics, conséquence des politiques anti-voitures. Comment y répondre ? Faire varier les tarifs en heure de pointe ? Trouver des solutions pour proposer des trajets plus longs mais moins bondés, via des applications dédiées par exemple ?…

Pas si sûr que cela puisse répondre aux contraintes qui pèsent sur les usagers. A défaut de politiques d’étalement d’horaires (de travail, d’écoles, d’ouverture des commerces…), la seule bonne réponse pour le moment a été l’automatisation de la ligne 1 du métro parisien, estiment les auteurs, qui a permis la réduction du temps d’attente aux heures de pointes, l’amélioration des vitesses de transport, et une moindre densité des voyageurs. 

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