La capitale allemande est-elle devenue l’anti-Silicon Valley ?, s’interroge L’Obs. Les hackers et activistes viennent profiter de la vie de bohème peu chère, d’une très bonne infrastructure technique, des espaces de travail partagés bons marchés, d’une culture plus accueillante pour les femmes, et d’une culture de la protection de la vie privée, symbolisée par le Chaos Computer Club, qui s’est fait connaître par ses actions publiques retentissantes et qui est aujourd’hui très présente dans les canaux médiatiques et politiques, collaborant fréquemment avec les autorités sur les sujets de protection des données. En cherchant à trouver un équilibre entre intérêt général et business, Berlin s’impose comme une anti-Silicon Valley.
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