L’agriculture vit-elle une révolution technologique avec les TIC ? L’adhésion progressive aux technologies de l’information permet aux agriculteurs de cultiver leurs sols avec plus de précision, de vendre leur récolte de manière plus réactive, de gérer leur exploitation avec une meilleure maîtrise des exigences environnementales. Une étude de l’Atelier BNP-Paribas fait (…)
Selon l’enquête 2004 de l’e-tailing Group, les responsables e-commerce des distributeurs américains se sentent désormais pleinement intégrés à la stratégie multi-canaux de leur entreprise. Seuls 13 % des sites d’e-commerce sont encore isolés dans une filiale à part. 25 % des e-marchands ne vendent que sur l’internet ; 37 % combinent vente par catalogue, (…)
Tel est le but que poursuit le MindGames, un laboratoire du MIT MediaLab européen. Mind Balance est la première application de commande cerveau-ordinateur développée par ce groupe. Elle consiste en un casque sans capteurs ni fils qui utilise l’electroencéphalographie pour mesurer l’activité de certains endroits du cerveau et Bluetooth pour (…)
Afin d’explorer les risques des nanotechnologies sur la santé, la National Science Foundation américaine a attribué un financement de 5,5 millions de dollars à une équipe de l’université de Rochester. Les inquiétudes se focalisent notamment sur l’accumulation de nanoparticules dans les organismes, dont les effets pourraient s’avérer dangereux. L’info : http://news.com.com/2100-7337-5186939.html
Sous le titre « Des collectivités plus fortes pour un Canada plus fort : La promesse des services à large bande », le Comité national de sélection associé au programme de développement des hauts débits dans les collectivités rurales et éloignées du pays, formule un ensemble de recommandations ambitieuses. L’accès de tous les (…)
Alors que la photo numérique conduit à stocker un nombre croissant d’images, la plupart d’entre elles ne sont pas légendées ni indexées, ce qui rendra de plus en plus difficile leur recherche, voire leur interprétation. Le laboratoire de HP à Palo Alto expérimente un système qui associe automatiquement une légende (…)
Le nouveau « vaisseau à grande vitesse » qui équipe la marine américaine n’embarque que 42 marins pour ses 100 m de long, mais les dispositifs électroniques et informatiques sont là pour compenser. Le centre nerveux du catamaran a peu à voir avec l’image habituelle des cabines de pilotage. Reportage photo de (…)
Dans The Feature, David Pescovitz livre une remarquable synthèse du projet d’ « internet interplanétaire » lancé aux Etats-Unis depuis 1998. L’idée générale est celle d’un réseau « tolérant aux retards » (Delay-Tolerant Network) : elle consiste à permettre à des dispositifs divers (satellites, sondes, robots, stations spatiales…) de communiquer entre eux et avec (…)
A l’occasion d’une campagne destinée à accélérer la croissance de son offre internet, la Société Générale publie les résultats de deux enquêtes sur l’internet bancaire. Selon l’institut BVA, 26,7 % des Français (45 % des jeunes et 49 % des cadres supérieurs) se sont connectés sur le site de leur banque au cours (…)
Des écrans qui se confondent avec le mur, des ordinateurs invisibles, des espaces de réunion à la fois plus conviviaux et plus denses en technologies afin de faciliter des interactions naturelles et riches, des systèmes de vidéoconférence qui donnent une illusion de présence, des capteurs qui détectent le stress ou (…)
Le nouveau service d’e-mail gratuit de Google, Gmail, qui propose 1 Go de stockage gratuit, soulève des interrogations. Non pas, estime Declan McCullagh de CNet, du fait des mauvaises intentions de Google, mais parce qu’un tel volume permet de confier la totalité de ses archives à un serveur, ce qui (…)
Si vous avez quelque chose à demander par courriel, sachez-le : plus le nombre de destinataires de vos courriels est grand, moins vous avez des chances de recevoir une réponse. C’est le résultat apparemment paradoxal de l’étude menée par Greg Barron de la Harvard Business School et Eldad Yechiam de l’université (…)
Entre la publicité non sollicitée (le spam) et l’effet de traîne – d’une durée sans précédent à notre connaissance – du virus Netsky apparu début 2004, le taux de pollution des échanges électroniques n’a jamais atteint un tel niveau. Pour certains utilisateurs, dont l’auteur de ces lignes fait partie, près des trois-quarts des courriels reçus sont aujourd’hui des nuisances.
Chacun dans notre coin, nous parvenons à survivre. Les anti-virus et les tueurs de spam s’améliorent et nous faisons plus attention à les mettre à jour ; nous gérons autrement notre courriel et notre liste d’interlocuteurs ; nous ne publions plus aussi facilement notre adresse ; nous acceptons de nos employeurs des restrictions nouvelles.
Si nous savons à peu près minimiser le coût individuel des nuisances, le coût social, lui, est considérable. Une partie de ce coût peut se mesurer de manière comptable : temps perdu à faire le tri (4 milliards de dollars pour les seuls Etats-Unis), coûts en matériels, logiciels, services et personnel employés à lutter contre ces fléaux (environ autant). Mais le dommage le plus grave que nous causent ces pollutions est ailleurs : dans une perte de confiance globale envers le courriel et les autres moyens de communication attaqués, forums, newsgroups, messagerie instantanée, blogs ; dans une moindre spontanéité, une fluidité réduite des échanges (mais qui est donc cette personne qui veut m’écrire ?) Autrement dit, le moteur principal de l’internet, l’échange, est attaqué au cœur.
Face à cette réelle catastrophe, l’inaction collective (plus ou moins masquée par une masse de conférences, rapports et groupes de travail) laisse songeur. Les législations évoluent à un rythme d’escargot et quand elles existent, les spammeurs (en France et aux Etats-Unis par exemple…) ne sont pour ainsi dire jamais inquiétés. Certains défauts parfaitement connus des logiciels de courriel (l’accès au carnet d’adresses, la gestion des en-têtes…) ne sont jamais corrigés. Un grand nombre de fournisseurs d’accès continue de vendre antivirus et antispam comme des services optionnels (et par conséquent assez peu utilisés).
Avec de tels ennemis, le spam n’a pas besoin d’amis !
Comment comprendre une telle différence entre la rhétorique et les actes ? Et l’on se prend à se demander si la motivation des grands acteurs publics et privés est bien aussi forte qu’ils le prétendent ; si, au fond, cette histoire d’échanges libres et à peu près gratuits sur l’internet ne leur a pas toujours paru un peu louche, improductive, anti-économique.
Bref, sans une pression déterminée des utilisateurs eux-mêmes, auxquels il manque encore de comprendre que leur problème est collectif et non individuel, nous avons peu de chances de voir un jour décroître le volume de virus et de spams.
Les deuxièmes Rencontres internationales du multimédia d’apprentissage (Rima) ont eu lieu à Québec du 15 au 17 mars 2004. Jean-Michel Cornu, directeur scientifique de la Fing, nous présente ici le programme de ces rencontres et le sommaire des compte rendus qu’il nous en ramène. En attendant de pouvoir les découvrir dans leur intégralité, cette semaine et dans les semaines qui vont suivre, Jean-Michel vous propose d’aller lire ceux qu’ont réalisé les élèves de l’Institut St Joseph à Québec dans leurs blogs. Vous serez étonnés !
Ce document est un résumé de la présentation de Stephen Downes du National Research Center Canada, lors des 2e Rencontres internationales du multimédia d’apprentissage à Québec, du 15 au 17 mars 2004 (http://www.rima2004.org) sur les cinq technologies émergeantes pour le e-learning : Objet d’apprentissage, référentiels, syndication, personnalisation et environnement.
Depuis début mars, Simeda, une petite entreprise allemande spécialisée dans les nouvelles technologies, a mis sur le marché Soundcover, soit neuf ambiances sonores à intégrer dans son mobile et qui sont censées donner l’impression que l’interlocuteur se trouve coincé sur le périphérique, chez le dentiste… L’info : http://www.liberation.fr/page.php?Article=190814 Soudercover : http://www.simeda.com/soundercover.html
Selon une étude économétrique américaine, le téléchargement « peer-to-peer » ne jouerait qu’un rôle minime dans la diminution des ventes de CD. En analysant titre par titre la corrélation entre téléchargements P2P et ventes en ligne et hors ligne, les chercheurs Felix Oberholzer et Koleman Strumpf concluent que le lien entre un (…)
D’ici 2010, nous serons immergés dans un océan d’ordinateurs miniatures prédisent les chercheurs de la Communauté Pervasive Computing (une expression difficile à traduire que l’on peut approcher par « informatique omniprésente ») qui vient d’être lancée par le Cambridge et le MIT Institute (CMI), une joint-venture entre les deux prestigieuses universités. L’objet (…)
L’Inist (Institut de l’information scientifique et technique) vient de traduire le rapport du Wellcome Trust sur l’édition scientifique qui propose une synthèse des enjeux économiques de l’édition scientifique pour les différents acteurs du domaine. L’info : http://www.inist.fr/oa/spip Le rapport : http://www.inist.fr/wellcome Le Wellcome Trust : http://www.wellcome.ac.uk
La réalité augmentée pourrait bien répondre à la promesse que nous faisait, il y a quelques années, la réalité virtuelle en nous permettant de « surligner » la réalité avec des informations transportées par les technologies mobiles. En février 2004, Eric Klopfer, professeur d’urbanisme au Massachusetts Institute of Technology, et les chercheurs (…)